Décider

En effet, après quelques hésitations sur la durée, la destination et les dates, c’est enfin décidé !

Je pars 3 mois cet été, en voyage avec mon vélo, en Colombie et Equateur.

Et je ne pars par toute seule mais avec Hélène qui elle part pour 1 an à travers l’Amérique du Sud.

La même Hélène qui nous avait concocté une micro aventure à Dieppe en novembre dernier. Dans la vidéo postée dans l’article sur Dieppe, vous pourrez la retrouver parlant avec amour de son nouveau vélo, destiné à ce long voyage.

Fun fact : aucune de nous deux ne parle espagnol 😉

On risque donc de se retrouver dans des situations assez cocasses à essayer de nous faire comprendre avec les mains, google translate et quelques mots de français.

Se préparer

Pour ce voyage, je vais partir avec mon VSF et non le petit vélo, pas très adapté à ce type de voyage. Pour rappel, la présentation des vélos est ici.

Beaucoup de préparatifs encore à faire avant d’être prête pour le grand départ :

• avoir un passeport (le mien est périmé)
• vérifier les visas et les vaccins
• adapter le vélo avec un porte-bagage avant et le faire réviser jusqu’au dernier boulon
• acheter les sacoches qui manquent
• surtout faire la liste de tout ce que je vais mettre dans les sacoches avec toujours le coeur qui balance entre “j’en ai besoin” et “pfiou, ça rajoute tant de poids sur le vélo ?”

Compenser

Quid des émissions de CO2 du trajet en avion ?

Je vais donc prendre l’avion et forcément, c’est un mode de transport particulièrement impactant sur l’environnement. Etant donné que les compagnies aériennes ne le proposent pas directement à leurs clients (mais qu’attendent-elles donc ?), j’ai cherché comment compenser les émissions de mes vols.

J’ai finalement choisi de le faire en finançant la Fondation GoodPlanet. Car la Fondation propose directement un calculateur d’émissions sur son site qui permet de connaître en deux clics le montant d’émissions à compenser.

Pour retrouver le calculateur, c’est par ici.